Le livre Sous la falaise le ciel est rouge est disponible

J’ai terminé l’écriture de mon livre, juste avant la période de déconfinement : Sous la falaise, le ciel est rouge !

Au fil des 680 pages de ce livre, je dévoile mon cheminement en partant de la ville de Sidi-Bel-Abbès où je suis né, mon enfance, mes jeux (les pignols), mais aussi la guerre.

Bon élève, la vie, ne m’a pourtant pas permis d’aller à l’école longtemps, et le fainéant de 11 ans a commencé à travailler à l’heure du passage à l’adolescence.

C’est sur le pont du bateau, « l’El Mansour » assurant le transport entre Oran et Port-Vendres que j’ai imaginé mon premier poème « Maudite Guerre »

À partir de ce moment-là avec les mots, Pour exhorter la dureté de l’existence, j’ai utilisé l’arme de la poésie.

Dans ma jeunesse, j’étais ouvrier et en même temps, religieux franciscain.

Rien ne me prédestinait à devenir un militant syndical et politique.

Pourtant en 1971, j’adhère à la CGT et rapidement je réponds favorablement aux responsabilités.

J’adhère au Parti communiste français en 1974, au retour d’un meeting d’entre-deux tours de la présidentielle.

Lorsque je prends un engagement, je m’investis totalement.

C’est à la fois une qualité, mais aussi un défaut, je ne sais pas dire Non, ou si peu !

Je suis très famille et pourtant par moments, je n’ai pas toujours pu ou su donner une importance primordiale à la vie familiale !

Je suis obstiné, je ne dis pas, je ne sais pas faire, je tente.

Autodidacte, j’apprends beaucoup au contact des autres en essayant d’écouter avant d’exprimer mon opinion.

Mon raisonnement ne m’a pas été enseigné, à partir de mon vécu je construis des logiques qui souvent décontenancent ceux qui tiennent le savoir à partir d’études.

Sassenage est devenue ma ville, depuis 43 ans, j’ai beaucoup donné pour elle !

Je me suis investi dans tous les dossiers et sur beaucoup de points j’ai fait preuve de lucidité.

À la société mycologique, je suis la plume des sorties.

Sous la Falaise, le ciel est Rouge.

Cette Falaise située à 230° Sud-Ouest, a accompagné et accompagne ma vision à partir des balcons du Floréal en 1974 et de la Résidence du Parc à Sassenage. Le rouge est à la fois la couleur du sang indispensable à la vie et aussi celle des Luttes.

Communiste depuis 46 ans, mon cheminement côtoie la vie de ce parti qui cette année fête son centenaire.

Avec ce livre, disponible à la fois sur le site TheBook Edition, j’ai voulu rester entier, me montrer sous toutes mes facettes, me dévoiler.

En commandant à partir de ce site, le prix du livre sera, livraison comprise pour la France de 26 euros. Chèque à m’adresser au 17 Avenue de Romans 38360 SASSENAGE.

Les hommages d’élus de notre groupe suite au décès d’Anne-Marie Astier

annemarieastierC’est avec beaucoup de tristesse que j’ai appris ce jour la disparition d’Anne-Marie Astier des suites d’une longue maladie. Créatrice et directrice de l’école de danse « Corps et graphie » depuis 1989, Anne-Marie a su transmettre sa passion de la danse à des centaines de Sassenageois. Je garderai à jamais en mémoire l’image d’une battante, d’une combattante, d’une femme de projet et d’action, pleine d’énergie. Malgré sa maladie et les obstacles, elle gardait toujours ce qu’elle appelait sa « positive attitude ». Elle va terriblement manquer à Sassenage, à la danse, à ses proches et amis.

Yannick Belle

Je viens d’apprendre le décès de Anne-Marie Astier, directrice de l’école de danse « Corps et Graphie ». Anne-Marie a combattu avec courage, pendant de nombreuses années sa maladie mais le cancer a été plus fort.

La qualité du travail qu’elle a fait pour cette association était remarquable, son investissement colossale.
Corps et Graphie est l’une des meilleurs écoles de danse de l’agglomération, grâce à Anne-Marie et à son équipe.

Cette association était tout pour elle, elle disait que c’était son « bébé ». Elle était rigoureuse, exigeante mais le résultat était là, de la qualité sans oublier le plaisir des danseurs.

Nombreuses sont les petites danseuses sassenageoises (et quelques danseurs) qui auront été marquées par le passage dans cette école et ne pourront oublier ces moments, la qualité des galas de danse, le professionnalisme des enseignants. Moi même, en tant que parent, ces galas de danse font partie des bons souvenirs de l’enfance de mes filles…

Je pense à elle

Florence Parvy

Je suis bouleversé par cette nouvelle ! Le 3 octobre dernier, Anne-Marie Astier m’écrivait : « Bonjour mon très cher Michel

Il y a longtemps que je n’ai pas donné signe de vie et je m’en excuse ..

j’espère que tu vas bien toi et ta compagne …

Pour info …nous avons rencontrer les élus pour notre baisse de subvention …normalement elle ne devrait pas bouger en 2016.. c’est ce que nous avons obtenu… à voir si cet engagement sera respecté..
Par ailleurs je t’ informe que mon état de santé s’est hélas dégradé, j’ai des métastases sur la moelle épinière ..j’ai perdu l’usage du pied gauche ..et par conséquent je ne peux plus conduire.. Comme d’habitude je vais continuer à me battre positif attitude…mais c’est un autre combat cette fois à un autre niveau..

je t’embrasse très fort mon très cher Michel

Anne Marie ASTIER »

Je n’ai pas su trouver les mots pour l’aider et lui donner plus de force dans ce combat : cette situation m’a replongé l’année où Anne-Marie est venue animer l’école de danse, en 1989. A ce moment là je donnais ma moelle,pour tenter de sauver ma sœur d’une leucémie,  et cela n’a pas suffit pour assurer sa guérison.

Anne-Marie, artiste chorégraphique dans plusieurs disciplines, avait la danse dans le sang. Elle avait un tempérament de battante. Lorsque le Maire de Sassenage décida de s’attaquer à ses passions, elle viendra me demander de soutenir dans un premier temps, les rencontres sassenageoises de la danse, d’où mon intervention lors du Conseil municipal du 13 décembre 2004. Et puis ce tableau montrant le prétexte utilisé contre l’association publié sur le premier site des élus communistes de Sassenage.

Après les Rencontres sassenageoises de la danse, le Maire tente de discréditer Corps et Graphie, pour le Sassenage en Pages de l’été 2006, notre billet aura pour titre : Veut-on tuer Corps et Graphie ?

Lors du Conseil municipal du 26 février 2007, ce combat commun avec la Directrice de Corps et Graphie finira par être payant, voici mon intervention.

L’engagement d’Anne-Marie et des membres des associations aura permis de pérenniser la danse, avec la poursuite des festivals de Hip Hop, grâce aux Rencontres de la danse en Isère, le rayonnement de Corps et Graphie.

Ces deux associations sont en deuil et j’adresse à toutes familles adhérentes et actrices des événements, toutes mes condoléances.

A son compagnon, en plus de mes condoléances sincères, je veux redire combien Anne-Marie était exceptionnelle, au fil de ces 27 ans, elle a su transmettre des passions pour cet art de la chorégraphie et de l’expression corporelle à des milliers de jeunes, merci à vous pour ce soutien.

Michel Barrionuevo

 

Décisions du Maire: Sassenage n’est pas une République bananière, nous quittons le Conseil

Premier Conseil municipal de la rentrée, ce 10 septembre 2015, nous  remarquons que des pouvoirs entre élus de la majorité sont attribués en cours de séance,  durant deux minutes, un adjoint reçoit 2 pouvoirs, avant que le maire n’attribut la procuration à un autre élu, c’est de la cuisine !

Au moment d’aborder les décisions du Maire de la N° 2015-49 à 2015-87, pour notre groupe Yannick Belle intervient:

Monsieur le maire,

Nous vous avons demandé en Conseil municipal puis par écrit la liste des logements communaux « d’urgence » et les conditions d’attribution de ces logements réservés à des Sassenageois en grande difficulté sociale, économique et humaine. Nous n’avons toujours pas de réponses à cette demande.

Par le passé, nous avons déjà émis de sérieuses réserves sur certaines attributions.

Était-il normal d’attribuer un logement d’urgence à un adjoint qui rénovait sa maison ?

A notre sens non !

Plus récemment était-il normal d’attribuer pendant 2 ans un logement d’urgence à une famille pendant que celle ci se faisait construire une maison de 160m2 sur Sassenage ?

A notre sens non, et nous l’avons écrit dans le dernier Sassenage en pages.

Et notre stupéfaction a été grande lorsque nous avons constaté que vous avez à nouveau attribué personnellement par décision du 21 juillet 2015 un logement communal d’urgence dans le bâtiment Vercors à un membre de votre famille, en l’occurrence à votre fille, Mme Patria, responsable administratif et financier à la Métro, qui habitait Echirolles.

Nous ne pouvons pas cautionner ces dérives successives. Sassenage n’est pas une République bananière .

Déjà en janvier dernier, nous avons du déférer devant le tribunal administratif une délibération relative au transfert dans le giron communal d’une partie des voiries de la copropriété La Dentellière parce que nous estimions que vous aviez un intérêt personnel dans ce transfert.

Avec cette nouvelle décision d’attribution, vous devenez coutumier du fait et nous voulons que chacun ici se rende compte de la gravité de ces actes  et des conséquences sur l’image des politiques et  sur ceux qui sont dans un réel besoin.

Cette décision est d’autant plus grave que notre commune est en situation de carence sociale et que vous êtes Vice-président du Département en charge du logement.

Nous ne comprenons pas comment votre majorité peut accepter cela et nous rappelons que chacun siège dans cette assemblée pour défendre l’intérêt général et certainement pas pour servir des intérêts particuliers.

Si votre majorité accepte ces pratiques qui nous semblent illégales, il est inconcevable pour nous de les cautionner.

Aussi pour contester solennellement  cette décision et pour, peut être, éveiller certaines consciences, nous quittons le Conseil municipal et informerons les autorités compétentes de ces faits.

Aussitôt, tous les élus du groupe du groupe « Agir pour Sassenage » ont quitté la séance de ce Conseil.

Pour informaion,  Réponse publiée au JO le:  19/11/2001  page :  6644 de la Garde des Sceaux à la question N° : 66514  de  M.   Jacquat Denis ( Démocratie libérale et indépendants – Moselle ): par dérogation aux principes posés à l’alinéa 1 de l’article 432-12 du code pénal, l’alinéa 3 du même article autorise les élus municipaux de communes comptant 3 500 habitants au plus, à conclure des baux d’habitation avec la commune pour leur propre logement. Mais il s’agit là d’une dérogation qui, en tant que telle, doit être interprétée strictement et ne saurait être étendue aux descendants d’un élu municipal. Dès lors, un descendant d’un maire ne saurait devenir locataire d’un logement communal sous peine pour l’élu municipal d’être poursuivi du chef de prise illégale d’intérêt. 

L’action des parents d’élèves fait reculer temporairement la municipalité : la vigilance s’impose !

26 familles ont signé la pétition ci-dessous initiée par un parent d’élève :

« Le 23 juin la mairie de Sassenage envoyait un mail contenant simplement un courrier en pièce jointe. Ce courrier daté du 15 juin est signé de Christine DURAND, Adjointe à la famille, à l’éducation et à la parentalité. Il nous informe que la mairie de Sassenage supprime à partir de la rentrée de septembre 2015 la navette entre les écoles et les centres de loisirs et multi-sports le mercredi après-midi, ainsi que la possibilité pour les enfants de déjeuner sur place.

Madame l’Adjointe précise toutefois que nous aurons la possibilité d’inscrire nos enfants à la garderie périscolaire jusqu’à 12h30.

Doit-on demander à nos enfants de manger le repas préparé par les parents (ainsi forcément froid) sur le trottoir en attendant 13h30 et de se rendre ensuite seuls aux centres de loisirs, été comme hiver, sous le soleil ou sous la pluie?

La Municipalité bien conscience que cette décision pose des difficultés considérables aux familles dont les deux parents travaillent (pas forcément sur Sassenage) et de l’impossibilité pour nombre de familles de se libérer chaque mercredi midi pendant deux heures afin de palier à la démission de la commune?

Les conséquences pour ces familles risquent d’être dramatiques. Cette décision prise unilatéralement et sans concertation préalable est annoncée à quelques jours des vacances d’été.

Les familles concernées n’ont que les deux mois d’été pour tenter de trouver une solution de repli à l’aide de gardes alternatives  (rares et chères) ou d’obtenir un aménagement de leur temps de travail auprès de leur employeur (facile entre juillet et aout et vu le contexte actuel de l’emploi…).

Monsieur le Maire, Madame l’Adjointe à la famille, à l’éducation et à la parentalité, sachez reconnaître une erreur décisionnelle et maintenir les services publiques dans notre commune. »

En Conseil municipal du 2 juillet 2015, le groupe «  Agir pour Sassenage » s’est fait l’écho de cette colère. Malgré nos observations, la suppression de la navette était adoptée par l’ensemble des élus de la majorité, les élus du groupe « Agir pour Sassenage » ayant votés contre cette délibération.

Le 8 juillet, l’Adjointe adresse un nouveau courrier aux parents concernés :

En effet, « En juin dernier je vous informais que la navette entre les différentes écoles de la commune et les centres de loisirs serait supprimée au regard du budget mobilisé pour peu de familles concernées.

De nombreux parents et représentants de parents d’élèves nous ont alertés sur les difficultés que cette suppression engendrait sur l’organisation des familles.

Après réflexion et concertation, nous proposons de maintenir une seule navette dès la rentrée de septembre 2015 et ainsi de permettre également aux enfants inscrits sur les centres de loisirs de déjeuner sur place (repas tiré du sac).

Par contre, au regard du coût restant à la charge du budget communal (le contribuable), ce service sera payant. La participation des familles sera de 20 euros par enfant et par trimestre. 

Ce service communal sera effectif jusqu’aux vacances de Noël 2015. Pendant cette période un relevé du nombre d’enfants utilisateurs de la navette sera effectué. Au regard du nombre d’usagers éventuellement insuffisant, nous serons alors amenés à prendre une décision plus drastique, pouvant aller jusqu’à la suppression définitive. Vous en serez avertis dès la mi- novembre. »

Nous nous réjouissons du retour en arrière opéré par la municipalité de Sassenage après l’action des parents d’élèves et notre insistance.

Néanmoins, ce volte-face revient à dire: vous ne voulez pas que l’on supprime le service alors vous payez ! Monsieur Coigné voit le service public comme un service privé, tu consommes tu paies… t’as pas les moyens, tu consommes pas…

Notons cependant que le 9 juillet 2015, le SMTC a pris cette décision : les sorties scolaires réalisés sur le temps scolaire bénéficieront désormais de la gratuité.

A l’occasion d’une de nos questions diverses le 2 juillet, Monsieur le Maire a répondu : « si le SMTC décide de la gratuité, nous la réappliquerons »

Que le Maire tienne les promesses faites lors du Conseil Municipal du 2 juillet et mette en place la gratuité promise.

On fait des promesses, après on les tiens ou pas

Lettre du groupe « Agir pour Sassenage » sur le nouveau projet Domaine de Beaurevoir

Mesdames, Messieurs les Conseillers Municipaux

Par ce courrier, j’aimerais attirer votre attention sur le nouveau projet immobilier du Domaine de Beaurevoir présenté en mairie le 22 juin dernier par M. Coigné.

Nouveau projet : promoteur SAFILAF représenté par M. Philippe Roth (pour rappel  Safilaf a construit le domaine de la Dentellière). Bureau d’architecture : A3

Superficie : 9 800 m2, seule la partie basse du domaine est achetée (parcelle 1AUC)

Le précédent projet portait sur 15 000 m2, Vinci achetait la totalité du domaine.

Durée des travaux : 3 ans: 141 logements dont 51 logements sociaux (locatif)

1/ Sur l’absence d’aménagements à l’école Rivoire de la Dame à la charge du constructeur:

Rappelons que dans le PUP signé avec Vinci, il était prévu la création de 2 salles de classes, l’extension des deux cours d’école ainsi que la création d’un nouvel équipement multisports.

Dans le PUP avec Vinci, il était indiqué : «  qu’une étude de l’Agence d’Urbanisme de la Région Grenobloise (AURG) prévoit une progression des effectifs du groupe scolaire Rivoire de la Dame dont dépend cette opération, pour atteindre, en lien avec le projet du Domaine de Beaurevoir, un effectif scolaire total (élémentaire et maternelle) de 200 élèves en 2021, dont 140 en élémentaire et 60 en maternelle, contre actuellement 147 élèves dont 50 en maternelle et 97 en élémentaire ».

Il est certain que le nouveau projet prévoit 58 logements en moins et que la taille des logements sera petite (pas de T5). Mais, lorsque le maire déclare lors de la réunion du 22 juin dernier: « qu’une  étude avait été menée par l’AURG et l’éducation nationale, en partenariat avec la mairie de Sassenage au sujet des effectifs à venir de l’école Rivoire de la Dame, qui seront à la baisse d’où l’absence de nécessité de réaliser des travaux au sein de cette école ». Il est en totale contradiction avec l’étude énoncée dans le PUP avec Vinci. Nous avons d’ailleurs demandé officiellement au maire la communication de cette étude. Nous l’attendons avec intérêt.

Nous affirmons que le projet immobilier va avoir un impact certain sur l’école Rivoire de la Dame et que des problèmes d’effectifs en hausse vont être constatés à la fin de la réalisation du programme. Faudra-t-il scolariser des enfants des Côtes dans la plaine ? Les élus de l’opposition vous interpellent à ce sujet  et vous demandent de prendre vos responsabilités.

Nous regrettons vivement la renonciation de la part de la commune à la mise en place de ce PUP qui ne pouvait avoir qu’un impact positif sur le secteur des Côtes.

Quant à la taxe d’équipement évoquée, elle devrait avoisiner les 300 000 €, on est loin de la participation initiale de Vinci pour un montant de 643 756 €. Une baisse de recettes pour la commune de 343 000 € ne peut être justifiée par 60 logements de moins sur le nouveau programme. Pourquoi faire un si beau cadeau à la société Safilaf ? Nous nous interrogeons à ce sujet.

2/ Sur la dangerosité accès/ sortie du Domaine : aménagement de la voirie

Plusieurs habitants des Côtes présents à la réunion du 22 juin ont soulevé les problèmes de circulation récurrents sur le virage situé face à la sortie du Domaine de Beaurevoir. Le car de ramassage scolaire étant prioritaire aussi bien à la montée qu’à la descente, il arrive régulièrement que plusieurs véhicules soient obligés de reculer sur plusieurs dizaines de mètres pour permettre la circulation du bus.

Qu’en sera-t-il avec une centaine de véhicules qui sortiront du domaine aux heures de travail ?

Réponse du maire : « Les habitants du domaine auront un stop, ils patienteront. Quant à la voirie, c’est maintenant de la compétence de la Métropole, à eux de voir ».

Le premier magistrat de notre commune ne doit-il pas anticiper les problèmes de sécurité et voir avec la Métropole ce qui peut être fait pour sécuriser cet endroit ? L’élargissement de la rue Pierre Dalloz au niveau du virage parait incontournable. Est-ce une attitude responsable que de renvoyer le problème sur la Métropole ? M. Coigné a été beaucoup plus diligent pour faire passer les voiries du domaine de la Dentellière (où il est propriétaire) dans le domaine public juste avant le passage des compétences voiries à la Métropole…

3/ Sur le chemin piéton le long de la rue Pierre Dalloz : dans le projet initial, Vinci cédait à titre gratuit ce chemin le long de la rue Pierre Dalloz, à charge pour la commune de l’entretenir. Cela permettait aux piétons et aux cycles de se déplacer en toute sécurité, à l’écart de la rue.

Aujourd’hui, ce chemin reste propriété du propriétaire du Château, il n’est pas sûr que cette personne accepte de céder le chemin et encore moins à titre gratuit. N’aurait-il pas fallu négocier en amont plutôt que de tenter d’obtenir la rétrocession en aval, avec les risques que cela comporte.

En qualité d’élus, de la majorité comme de l’opposition, nous avons une responsabilité vis-à-vis de nos concitoyens, ne l’oublions pas.

Bien cordialement,

Florence Parvy

Présidente du Groupe « Agir pour Sassenage »