TĂ©moignages

J’ai invitĂ© celles et ceux qui ont lu mon livre : « Sous la falaise le ciel est rouge » Ă  rĂ©agir ! L’avis de chaque personne m’importe Ă  plusieurs titres. Rares sont les ouvriers osant se lancer dans l’Ă©criture, je l’ai fait avec la sensibilitĂ© qui est la mienne.

Élogieux ou rĂ©probateurs vos tĂ©moignages expriment un ressenti, merci pour vos messages.

Murielle R. Je viens de retrouver ce courrier que je pensais t’avoir envoyĂ© depuis longtemps Ă  propos de ton livre.
Je l’ai lu comme on lit un roman, passionnĂ©e par tout ce qui t’ai arrivĂ© avec hĂąte d’en savoir plus page aprĂšs page, Ă©mue par moments rĂ©voltĂ©e Ă  d’autres. C’est la premiĂšre fois que je lisais la biographie de quelqu’un connu, proche de moi. Pour la partie qui concerne Sassenage et le parti, c’est pour moi une dĂ©couverte, je ne me suis pas suffisamment intĂ©ressĂ©e Ă  tout çà . J’ai apprĂ©ciĂ© ta vision et tes actions par rapport aux Ă©vĂ©nements qui m’ont replongĂ© quelques annĂ©es en arriĂšre.
Merci pour ton livre et pour tes poĂšmes.

Françoise D. : FĂ©licitations Michel, moi qui n’aime pas particuliĂšrement lire, je me rĂ©gale avec ton chef-d’Ɠuvre, j’adore ! Bravo pour tes poĂšmes, il faut avoir l’idĂ©e et surtout comme tu dis si bien, faire danser les mots.

Jocelyne T. : Je dĂ©vore ton livre. Moi, qui n’avais pas lu de livre depuis un an (santĂ©). Je me sens concernĂ©e par la partie Fontainoise Sassenageoise. Que de personnes que j’ai bien connues! RĂ©my B. Ă©tait un ami, mon mari a travaillĂ© Ă  Cometra, avec lui.
Suite de ma lecture. Je connaissais bien M. NoĂ«l C. ainsi que sa maman. JĂ©rĂŽme a Ă©tĂ© mon ancien Ă©lĂšve. J’ai eu de ses nouvelles, par son papa, quand Rachel a commencĂ© sa formation d’ATSEM, qui ne correspondait pas Ă  ses Ă©tudes. FĂ©licitations

ValĂšne P. : Bonjour, je suis au chapitre “premiĂšres vacances”
bouleversant
.cette enfance Ă  la fois difficile de part la duretĂ© de la figure paternelle
un certain inconfort et la duretĂ© du monde du travail. Et pourtant un rien amusĂ©e cette jeunesse
quelques cailloux et cartons et hop. Quand on voie la jeunesse actuelle et ses caprices. Je suis en pleine lecture
les pages avancent comme la vie de ce jeune garçon a avancé .on apprend tellement de cette Ă©poque
de cette jeunesse qui Ă  mon sens malgrĂ© les difficultĂ©s et le manque de confort avait tout pour devenir de vrais hommes avec une vrai morale. Bien plus dure maintenant d’élever nos enfants car la sociĂ©tĂ© est bien diffĂ©rente. On s’ennuie pas en lisant ce livre, on vit ces moments avec ce jeune garçon.

Philippe R. : Mes parents ont bien reçu le livre dĂ©dicacĂ©. Ils te remercient. Ma maman est vraiment contente de ce joli cadeau. Surpris et ravi que tu cites l’histoire de l’escalier chez eux dans ton livre. Merci encore et j’espĂšre que ce livre rencontrera un franc succĂšs !

CĂ©line J. : Au bout de quelques pages seulement mes larmes ont dĂ©jĂ  coulĂ©. Prendre conscience de la vie dure qu’ils ont eu, ma mĂšre mes oncles et tantes, et comprendre Ă  32 ans certaines rĂ©actions de ma mĂšre. Comprendre pourquoi elle s’est tant battu pour qu’on ne manque de rien. Vraiment, je voulais te remercie pour ce livre qui m’apprend beaucoup sur notre famille. J’avoue ĂȘtre avide d’en savoir encore plus sur des dĂ©tails. Mais c’est trop chouette alors merci.
Ce livre me dit qu’on a beau chacun Ă©crire son histoire, finalement elle dĂ©coule un peu de l’histoire familiale. Tu as Ă©tĂ© au domaine Chevalier, lĂ  oĂč Mallory a fait son apprentissage.
Tu Ă©tais investi auprĂšs des personnes handicapĂ©es Ă  l’hospice, j’y ai travaillĂ© des annĂ©es et dans ce mĂȘme service.
Tu as Ă©tĂ© dans les lignes tĂ©lĂ©phoniques comme Yannick aujourd’hui. Tu as habitĂ© Ă  Feillens et maman sans le savoir nous a emmenĂ©s habiter lĂ -bas
.
Pour moi dans la vie il n y a pas de hasard, mais je ne pensais pas que nos histoires de vies pouvaient ĂȘtre aussi liĂ©es. C’est fou !!!
Franchement bravo c’est trĂšs chouette. Hier j’ai du m’obliger Ă  aller me coucher tellement je n arrivais plus Ă  dĂ©crocher du livre.

Evelyne O.B.: Bravo Michel pour ce livre que je continue à lire !! Je connaissais ton cÎté engagé politique et je découvre un homme amoureux et tendre.

Jean-François B. : Je lis ton super livre avec passion car je retrouve beaucoup de point commun entre nos deux cheminements.

Anne-Marie G. : Livre offert gracieusement par ma camarade et amie Josiane A, pour mon anniversaire. Je m’y suis engouffrĂ©e ! Ta vie : un grand souffle renversant d’énergie, de crĂ©ativitĂ© 
. depuis ta naissance! Merci de nous le communiquer.

Françoise P. : Je viens de terminer la lecture de ton livre oĂč tu exprimes la vĂ©ritable Éthique de ton ĂȘtre. Je rejoins Albert Camus dans l’Étranger “nous ne naissons pas forts, faibles ou volontaires, nous devenons forts, nous devenons; lucides”. Ton cheminement personnel parfois caillouteux s’est poursuivi pas Ă  pas grĂące Ă  ton Ă©lan vital, pour dĂ©couvrir avec patience et humilitĂ© un savoir-faire, un savoir-ĂȘtre.
Ton engagement humain et politique montre ton courage et ta combativitĂ©. Tes multiples analyses politiques prĂ©cises sont lucides et prĂ©cieuses. La mĂ©moire est-elle un rĂ©servoir de bonheur ? Oui, je pense qu’elle participe Ă  la conquĂȘte de soi et Ă  la libertĂ©.
Partager le bonheur de chaque instant avec ceux que nous aimons est primordial. Certains passages poĂ©tiques de ton ouvrage m’ont Ă©mue. Montaigne aimait dire “c’est chose tendre que la vie et aisĂ©e Ă  troubler.”

Michel D. : Quelle Ă©trange sensation de tenir ce livre entre mes mains ! De la curiositĂ© – Oui – mĂȘlĂ©e avec une certaine Ă©motion, car la vie que tu nous racontes a croisĂ© la mienne et aprĂšs un survol de quelques pages, un flot de souvenirs rejaillit, quelle richesse !

Martine B. Suite Ă  une conversation tĂ©lĂ©phonique Ă©crit: Sandra a commencĂ© la relecture des Ă©crits de son pĂšre, pour des corrections Ă  apporter. Ce ne sont pour l’instant que les premiĂšres pages du livre, mais ce dĂ©but l’a retournĂ©e. Elle connaissait ce que ce papa rĂ©vĂ©lait de son enfance, mais lorsque l’on parle de soi, le rĂ©cit se focalise sur un moment prĂ©cis de sa vie, Ă  un moment donnĂ©. On fractionne, on choisit selon l’instant prĂ©sent. À ses enfants, on raconte les jeux d’enfants, les choses plutĂŽt gaies. Plus tard, les dĂ©cĂšs. Ici les lignes allongĂ©es racontent la chronologie de l’histoire familiale, la mise de bout en bout de sa vie. Sandra reste Ă©mue. Les mots, les phrases, lui apparaissent claquants, forts. Elle reste saisie par les dĂ©tails prĂ©cis de cette dure enfance. Elle dit mieux comprendre certaines rĂ©actions de son pĂšre. En discutant avec Michel au tĂ©lĂ©phone, des Ă©motions qu’elle ressent, je vois que Michel a les yeux mouillĂ©s, les larmes ne coulent pas, mais l’avis de sa fille le trouble.

Josy et Claude B. Qui aurait imaginĂ© que tu Ă©tais, Michel, au PÉROU, en train d’écrire ta biographie  ? En tous cas pas nous deux. Ta modestie nous a bluffĂ©s  !

Merci de nous avoir fait partager (agrĂ©ablement) tes joies, tes peines, tes sentiments, et surtout de comprendre ton courage, ta tĂ©nacitĂ© dans tes multiples situations. Il fallait “avoir les pieds bien sur terre” pour rester pratiquement toujours dans l’opposition, subir les exactions de la Mairie de Sassenage tout en apportant, malgrĂ© tout, des pierres Ă  l’édifice quoique en pense le Maire et ses Conseillers. FĂ©licitations aussi pour ta mĂ©moire de toutes ces annĂ©es bien dĂ©crites, chiffres Ă  l’appui. Ton livre est aussi gros que ton cƓur :  Bravo Michel  !

MichĂšle P. (Canada) : Moi qui l’ai reçu dans mes terres froides, je vous en recommande la lecture. Comme toujours, Michel est modeste : ce n’est pas seulement sa personnalitĂ©, dont on dĂ©couvre l’immense gĂ©nĂ©rositĂ©, mais aussi son histoire parfois triste et sa superbe rĂ©silience. C’est un tĂ©moignage qui devrait intĂ©resser les historiens. Et, ce qui ne gĂąte rien, c’est fort bien Ă©crit (Foi de prof de français!)

GĂ©raldine P.  : Ton livre m’a beaucoup Ă©mu sur toute la premiĂšre partie avec les Ă©preuves et difficultĂ©s que tu as traversĂ©es
pour devenir la personne que je connais aujourd’hui et que j’apprĂ©cie beaucoup.

Stéphane P. : Un livre passionnant à lire 
Des dates
une mémoire


Jean Giard : Ton livre m’a beaucoup intĂ©ressĂ©

Bernadette P. :J’ai lu avec beaucoup d’intĂ©rĂȘt et de plaisir ton livre mĂ©moire ; quel parcours !et surtout une vie riche et fondamentalement tournĂ©e vers la  Justice ; l’ÉgalitĂ© et la FraternitĂ© la devise française que tu as fait tienne au long de ta vie. Merci pour ton investissement Ă  la mairie qui a bien besoin d’altruistes !

AndrĂ© P. : Cela faisait longtemps que Florence, Ă  qui je mets copie de ce mail, avait fini et bien apprĂ©ciĂ© ton livre. Ce n’est que rĂ©cemment que j’ai pu reprendre la lecture et achever aujourd’hui-mĂȘme “Sous la falaise le ciel est ROUGE”.
J’ai Ă©tĂ© d’autant plus intĂ©ressĂ© par ton vĂ©cu en mĂąconnais que j’y ai passĂ© des vacances heureuses Ă  PrissĂ© Ă  partir de 1961 tandis que toi, tu y a vĂ©cu des annĂ©es difficiles. Je mesure l’injustice de nos deux parcours :
Mais…
On choisit pas ses parents,
on choisit pas sa famille
On choisit pas non plus
les trottoirs de Manille…
Le combat contre l’injustice est le socle de ton engagement. Peut-ĂȘtre de “nos engagements”.
La fidĂ©litĂ© de tes engagements syndicaux et politiques m’a toujours impressionnĂ©. Elle diffĂšre de mon propre cheminement, mĂȘme si une mĂȘme recherche de justice nous anime. C’est pour cela que j’avais voulu adhĂ©rer au Parti Communiste Français en 1978, mais l’intervention soviĂ©tique en Afghanistan a Ă©tĂ© pour moi un obstacle infranchissable, un moment de bascule, de prise de conscience… Jusqu’alors, ma bonne conscience se satisfaisait d’un “c’est de l’anti-communisme primaire” gĂ©nĂ©rĂ© par “la culture bourgeoise”…
J’ai longtemps espĂ©rĂ© lire “Sous la falaise” ton cheminement personnel vis Ă  vis du Communisme. J’ai seulement notĂ© une rĂ©fĂ©rence (page 531, 1966) “au Camarade Alexis Kossyguine” prĂ©sident du conseil des ministres de l’URSS, justement au moment du “coup de Kaboul”…
Page 579, vous visitez “Moscou, … la capitale est toute histoire … le Blockhaus de Staline, le mausolĂ©e de LĂ©nine”… Mon espoir allait-il ĂȘtre rĂ©alisĂ© ? Ce sera certainement pour ton prochain livre.

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